Si je vous disais que j’ai rencontré dans une goutte de mon sang, la durée du Temps et son éternité ; que j’ai vu, de mes propres yeux, naître, dans l’organe du cœur, la conscience du Bien et du Mal. Rien que ça ! Que j’ai vu, aussi, ces vertus que nous admirons tant, et qui nous semblent si lointaines, inaccessibles, presque, mais désormais, vues en forme d’organes, réels, avec surfaces et volumes, simplement, invisibles, comme le sont le vent ou la lumière. Et encore... Que j’ai vu, dans la Vacuité du Bouddhisme, que je reconnais, la plénitude du tout Amour, et du grand Pardon. Vous seriez intrigués, n’est-il pas vrai ? Comme moi-même je l’ai été... Je vous invite à ce partage... participant.
|