« Des mecs, elle pouvait en avoir autant qu’elle voulait à sa botte sans mais s’attarder sur personne aussi intéressants puissent-ils être. Ceci lui arrivera sur le tard, mais Guillaume serait là pour canaliser ses dérives. Avec un carnet d’adresses bien rempli, elle agissait telle une Madame Claude. Le notaire lui faisait office de rabatteur et lui amenait des gens importants : le maire : le député, le commissaire de police, des entrepreneurs, des avocats, des gens influents. Elle leur offrait quand le besoin se faisait sentir, de rembourser une dette pour services rendus, une soirée superbe avec la meilleure cuisine, des vins fins et certaines de ses employées les plus averties, leur faisaient terminer la nuit en apothéose. » (p. 21)