Méfiez-vous, lecteurs, lectrices... Rien n'est plus contagieux qu'un fantasme pervers !
Ah, pour être pervers, ils sont pervers, les fantasmes de Jacques A. Au point de se mêler à sa vie dont ils font un véritable méli-mélo lubrique. Ce ne sont que visites médicales cochonnes, exhibitions, petites culottes par ci, pas de culottes par là... Comment penser à autre chose qu'à ce que toutes ces dames concupiscentes aiment tant lui montrer ? Et comme si ça ne suffisait pas de le rendre fou, pour le punir de ses vilaines pensées... elles lui donnent la fessée à cul nu, comme à un gamin ! Quitte à le pommader ensuite... et plus, si affinités, comme disent les gens bien ! On serait obsédé à moins, non ? Méfiez-vous, lecteurs, lectrices... Rien n'est plus contagieux qu'un fantasme pervers !
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